Loading...
Please wait, while we are loading the content...
Similar Documents
Intérêt du protoxyde d’azote dans la gestion de la douleur en vue d’un travail de gain articulaire dans le cadre de syndrome douloureux régional complexe de type I à propos d’un cas
| Content Provider | Semantic Scholar |
|---|---|
| Author | Hafid, Abd. Karim |
| Copyright Year | 2013 |
| Abstract | neurologique périphérique. Il existe trois phases : la phase chaude, une phase froide puis une phase atrophique. Ici, nous décrivons un cas, présentant un SDRC dont les douleurs neuropathiques ont été traitées par rééducation sensitive. Observation.– Une patiente, 64 ans, a présenté un SDRC de type II en phase chaude en postopératoire d’une acromioplastie de l’épaule gauche en octobre 2011. Le diagnostic a été posé avec les critères de Bruehl et par scintigraphie. La rééducation sensitive a été débutée en mars 2012. Les antalgiques soulageaient peu la patiente. Une allodynographie a permis d’évaluer l’intensité des douleurs et de définir le nerf atteint. Cette cartographie sensitive se faisait avec un monofilament de 15 g. On délimitait la zone douloureuse pour une EVA personnelle > 3/10. Puis dans cette zone, on déterminait l’intensité avec des monofilaments plus fins. Ici, le nerf lésé était la branche supérieure du nerf cutané latéral du bras gauche. La rééducation sensitive a consisté en : – contre-stimulation vibrotactile 8/j pendant 1 minute par des stimuli perçus comme confortables en C8-D1 ; – contre-stimulation vibratoire réalisée avec un Vibralgic à une fréquence de 300 Hz de 0,9 v pendant moins de 1 minute ; – absence de stimuli au niveau de la zone allodynique. Du travail actif aidé de l’épaule gauche en infradouloureux était réalisé. Après un mois de rééducation, les douleurs avaient disparu. La zone allodynique avait diminué pour disparaître complètement un mois plus tard. La patiente ne prenait plus d’antalgique. Les amplitudes articulaires de l’épaule étaient normales. Discussion.– La prise en charge d’un SDRC doit être précoce et multidisciplinaire. De nombreuses thérapeutiques ont des résultats mitigés et des effets secondaires parfois majeurs. De nouvelles techniques, comme la thérapie par le miroir, ou la rééducation sensitive méritent d’être exploitées. Pour en savoir plus Spicher CJ, Mathis F, et al. Static mechanical allodynia is a paradoxical painful hypoesthesia: observations derived from neuropathic pain patients treated with somatosensoty rehabilitation. Somatosens Mot RES 2008;25(1):77–92. |
| File Format | PDF HTM / HTML |
| DOI | 10.1016/j.rehab.2013.07.240 |
| Alternate Webpage(s) | https://core.ac.uk/download/pdf/82633459.pdf |
| Alternate Webpage(s) | https://doi.org/10.1016/j.rehab.2013.07.240 |
| Volume Number | 56 |
| Language | English |
| Access Restriction | Open |
| Content Type | Text |
| Resource Type | Article |