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Savoir-faire endogènes pour la valorisation du fruit de karité au Bénin en Afrique de l’Ouest.
| Content Provider | Semantic Scholar |
|---|---|
| Author | Ahouansou, Roger Houêchéné Houssou, Paul Ayihadji Ferdinand Dan, Céline Agbobatinkpo, Pb Adekambi, Souleimane Adeyemi Gnonlonfin, Gbemenou Joselin Benoit Fanou, Lionelle Koumassa, L. Hell, Kerstin Adéoti, Razack Coulibaly, Ousmane Videgnon, B. Dohou Fandohan, Pascal Koudande, Olorunto Delphin Mensah, Guy Apollinaire |
| Copyright Year | 2012 |
| Abstract | L’amélioration des revenus des transformatrices passe par un bon positionnement des amandes et du beure de karité sur le marché international. Les produits du Bénin sont achetés trois fois moins chers que ceux du Ghana. La correction de cette situation passe par le développement et l’adoption de technologies appropriées. La connaissance et la prise en compte des pratiques existantes affectant la qualité de l’amande et du beurre sont nécessaires pour le développement et la diffusion des technologies. La présente étude s’est consacrée à l’inventaire des principales pratiques ou techniques endogènes de traitement du karité et à l’identification de celles qui sont appropriées. Une enquête a été réalisée auprès de transformatrices dans les cinq parcs à karité du Bénin en vue de recenser les savoir-faire endogènes en matière de transformation des fruits de karité en beurre, de les analyser et les comparer aux pratiques recommandées. Ainsi, 130 transformatrices choisies de façon aléatoire dans 26 villages ont été enquêtées. L’enquête a révélé que les noix fraîches obtenues aux champs après le dépulpage sont ramenées à la maison puis stockées pendant 5 à 21 jours avant d’être transformées contre 0 à 4 jours recommandés. La cuisson des noix pendant 30 à 120 minutes est la méthode de traitement thermique pratiquée par la plupart des femmes (87%). Les noix cuites sont séchées au soleil, généralement à même le sol à la place des bâches, puis décortiquées soit dans un mortier (66%) ou à l’aide d’un bâton (32%) pour obtenir les amandes. Deux technologies de transformation des amandes en beurre coexistent au niveau des parcs à karité à savoir les technologies artisanales et semi-mécanisée. La technologie artisanale dominante est pratiquée par 91% des femmes. Le nettoyage préliminaire des amandes, ainsi que le lavage, la déshydratation et le filtrage du beurre nécessaire pour le beurre de bonne qualité ne sont pas respectées par les transformatrices. |
| File Format | PDF HTM / HTML |
| Alternate Webpage(s) | https://publications-chercheurs.inrab.org/uploads/fichiers/lots2/BRAB_2008%20%C3%A0%202013/BRAB%202012/BRAB%20N%C2%B0%2071%20juin%202012/pdf%20BRAB%20N%C2%B0%2071%20juin%202012/Article%204%20BRAB%20N%C2%B0%2071_juin%202012_Ahouansou%20et%20al_Savoir-faire-karit%C3%A9-B%C3%A9nin.pdf |
| Language | English |
| Access Restriction | Open |
| Content Type | Text |
| Resource Type | Article |