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Pollution intérieure : comment améliorer la qualité de l’air ?
| Content Provider | Semantic Scholar |
|---|---|
| Author | Lavaud, François Dutau, Guy |
| Copyright Year | 2016 |
| Abstract | l a L v d e r a m a p d c t n fi t m e e e d Évoquer le rôle de la pollution intérieure sur la santé respiraoire peut paraître un phénomène de mode, mais pas seulement. outes les ventes immobilières sont accompagnées d’un bilan oncernant l’amiante et le plomb. Les pneumologues et les allerologues sont concernés par l’environnement intérieur depuis e très nombreuses années et cela pour de multiples raisons. ous passons en moyenne plus des deux-tiers de notre vie à ’intérieur des locaux, dans nos maisons (14 heures par jour), ans nos locaux professionnels ou à l’école. Ces locaux sont otentiellement riches en allergènes et éventuellement en poluants chimiques toxiques, irritants ou pro-inflammatoires sur es muqueuses des asthmatiques et des rhinitiques. Chez l’enfant topique le rôle bénéfique ou délétère de l’exposition à certains llergènes pour la bascule vers l’allergie reste controversé. Il est émontré que la vie à la ferme, l’exposition précoce à des endooxines d’origine bactérienne, peut-être à certains parasites ou oisissures protège vis-à-vis de l’apparition de l’asthme ou de ’eczéma atopique [1]. Cette évolution de « l’hypothèse hygiéiste » s’étend à des allergènes alimentaires dont l’arachide [2] u à des pneumallergènes tels que les phanères d’animaux. e nombreuses études montrent en fait que ces expositions iverses orientaient le microbiote, qu’il soit cutané, respiratoire u digestif vers des phénomènes de tolérance pour des allergènes otentiellement agressifs. Pour le chat et le chien plusieurs études ont montré, lorsqu’il ’existait pas de prédisposition familiale et bien sûr en l’absence e symptômes chez les parents, qu’il était possible de garer l’animal au domicile à la naissance des enfants [3]. Dans es conditions, le risque de développer une allergie respiraoire n’est pas plus important et même ce contact précoce eut avoir un effet protecteur sur l’apparition de maladies llergiques [4]. Si le patient est symptomatique au contact des phanères e problème est différent et l’éviction de l’animal s’impose, ncore que celle-ci ait des limites. Les consignes d’éviction ont rarement respectées et deux tiers des allergiques au chat n possèdent un à leur domicile [5], tandis que plus d’un arent d’enfant allergique sur deux dénie le rôle du chat dans o m e |
| Starting Page | 341 |
| Ending Page | 343 |
| Page Count | 3 |
| File Format | PDF HTM / HTML |
| DOI | 10.1016/j.reval.2016.05.001 |
| Alternate Webpage(s) | https://www.em-consulte.com/showarticlefile/1063501/main.pdf |
| Alternate Webpage(s) | http://www.em-consulte.com/showarticlefile/1063501/main.pdf |
| Alternate Webpage(s) | https://doi.org/10.1016/j.reval.2016.05.001 |
| Volume Number | 56 |
| Language | English |
| Access Restriction | Open |
| Content Type | Text |
| Resource Type | Article |