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État des lieux des pratiques des médecins généralistes libéraux concernant l’implant contraceptif : enquête en Haute-Normandie
| Content Provider | Semantic Scholar |
|---|---|
| Author | Péran, Anne |
| Copyright Year | 2015 |
| Abstract | Devant la diminution des gynecologues medicaux, la contraception doit etre abordee et maitrisee par les medecins generalistes. L’implant contraceptif en France est encore une contraception de second choix d’apres les recommandations officielles, du fait d’effets indesirables non negligeables, pourtant, c’est la methode de contraception la plus efficace, et elle semble etre un choix plus qu’opportun pour une population tabagique et/ou pour laquelle l’observance d’une contraception orale est problematique. L’objectif principal de cette etude est d’etablir un etat des lieux des pratiques des medecins generalistes de Haute-Normandie vis a vis de l’implant contraceptif. L’objectif secondaire est de determiner les facteurs associes a la prescription ou non de l’implant contraceptif. Materiel et Methodes. 152 medecins generalistes ont repondu a notre enquete. Ils ont ete contactes par mail. Leurs reponses ont ete recueillies a l’aide d’un questionnaire de type QCM. Resultats. Dans notre etude, 80% des medecins generalistes declarent prescrire l’implant. 57% declarent le poser et 62% declarent le retirer. Il apparait que 49% des medecins generalistes n’ont pas recu de formation pratique a la pose/au retrait de l’implant, parmi eux, 39% souhaitent apprendre ce geste (p=0,002). Les femmes medecins et les medecins ayant une duree d’exercice inferieure a dix ans representent les groupes significativement plus formes (p= 0,005 et p=0,027). L’observance et l’efficacite sont clairement identifiees par les medecins de notre echantillon comme des avantages a cette contraception, pour 98% et 100% d’entre eux. Les difficultes techniques au retrait de l’implant et la crainte d’une mauvaise tolerance apparaissent etre les principaux freins a la prescription de cette contraception, pour respectivement 62% et 61% d’entre eux. Conclusion. Realisee grâce aux elements apportes par les medecins generalistes sur leur pratique quotidienne, cette enquete a permis de recueillir de nombreuses informations sur la prise en charge de la contraception au cabinet et plus particulierement sur les pratiques des medecins generalistes vis a vis de l’implant. Les diverses formations representent une demarche indispensable pour les medecins generalistes, qui leur permet de parfaire leurs connaissances, et d’apprendre le cas echeant des pratiques techniques jusqu’alors non maitrisees. Ces formations ciblees devraient etre accessibles a tout medecin generaliste qui en fait la demande. |
| Starting Page | 96 |
| Ending Page | 96 |
| Page Count | 1 |
| File Format | PDF HTM / HTML |
| Alternate Webpage(s) | https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01207164/document |
| Language | English |
| Access Restriction | Open |
| Content Type | Text |
| Resource Type | Article |