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Les infections sexuellement transmissibles : connaissances, comportements sexuels, attitudes de prévention et leurs obstacles, des jeunes haut-normands consultant en médecine générale
| Content Provider | Semantic Scholar |
|---|---|
| Author | Cressant, Émelyne |
| Copyright Year | 2017 |
| Abstract | En France, l’infection a VIH reste active et les IST sont en recrudescence. Epidemiologiquement, les jeunes sont les plus touches et connaissent moins bien leurs mecanismes de transmission. OBJECTIF : Etablir quelles sont les connaissances sur les IST et les attitudes preventives mises en place par les jeunes, en etudiant l’influence de certains facteurs demographiques. METHODES : Etude descriptive sur auto-questionnaires distribues a tous les jeunes de 18 a 30 ans venus consulter chez 5 medecins generalistes de Haute-Normandie. RESULTATS : Chlamydia et gonocoque ne sont connus que par 28 et 15% des 127 repondants. Seulement 25% connaissent l’impact sur la fertilite du Chlamydia, seulement 47% savent que les IST peuvent etre asymptomatiques, et seulement 62% consulteraient tout de suite apres une prise de risque. Ceux ayant les scores de connaissances (/17) les plus faibles sont : les hommes (mediane 10 vs 11 pour les femmes, p < 0,05), les 18-20 ans (mediane 10 vs 11 pour les 26-29 ans, p = 0,46), les ruraux (mediane 10 vs 12 pour les urbains, p < 0,05), ceux ayant ete informes une seule fois (mediane 9 vs 11 pour ceux informes plusieurs fois, p < 0,05), et ceux se sentant pas du tout informes (mediane 9 vs 14 pour les tres bien informes, p < 0,05). Le recours au preservatif avec un nouveau partenaire n’est systematique que pour 69% des repondants, et differe selon l’acte sexuel. La fellation n’est jamais protegee dans 71% des cas contre 13% pour la penetration vaginale (p < 0,0001). Le depistage concerne 53% des repondants et est lie a un meilleur score de connaissances (mediane 11,5 vs 6,5 pour les non-testes, p <0,05). 23/59 des non testes estiment ne pas avoir besoin de depistage et 35% de ceux ne se protegeant pas avec leur partenaire regulier n’ont jamais fait de depistage. CONCLUSION : Certaines IST sont meconnues, leur caractere asymptomatique et leurs impacts aussi. Les attitudes preventives des jeunes sont imparfaites. Le generaliste, acteur de prevention de choix, doit les informer sur les risques encourus. |
| Starting Page | 124 |
| Ending Page | 124 |
| Page Count | 1 |
| File Format | PDF HTM / HTML |
| Alternate Webpage(s) | https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01482310/document |
| Language | English |
| Access Restriction | Open |
| Content Type | Text |
| Resource Type | Article |